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jeudi 2 mars 2017

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CASABLANCA
3 600 000 hab.
Véritable poumon économique du royaume, vitrine pour les stylistes à la pointe de la mode et les artistes branchés, Casablanca cultive la tradition comme une parure à sa modernité. D'aucuns diront qu'il n'y a rien à voir ou presque... Allons donc ! C'est oublier la grande mosquée, la médina, le port, la corniche, le quartier des Habous, le trépidant Maarlf et ses tours jumelles, ou encore l'hypercentre et ses immeubles Art déco ; une mosaïque de cul-tures et d'influences qui ont fait de cet ancien repaire de pirates une ville résolument tournée vers l'avenir. Où l'on découvre un Maroc différent, tota-lement décomplexé, ouvert à toutes les influences, qu'elles viennent d'Orient ou d'Occident, tout en conservant fortement ancré le sens de la tradition. Casa mérite à bien des égards qu'on lui consacre un peu de temps. On y rencontre le Maroc d'aujourd'hui, sans fard et sans afféteries, la réalité d'un pays en mouvement. Loin des grands pôles touristiques, c'est une ville dyna-mique, où les habitants vous accueilleront à bras ouverts. Les prix sont moins élevés qu'à Marrakech ou à Essaouira par exemple. Et pour oiseaux de nuit, c'est de la balle Casa regorge de bonnes adresser boire un verre en écoutant de la musique, pour danser et faire la fête. c'est aussi des plages, des parcmètres, des mendiants, des mosquéW des bidonvilles qui poussent comme des champignons. Bref, le Man a • vrai -, pas celui des cartes postales !
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UN PEU D'HISTOIRE
le hameau d'Anfa (qui signifie « la colline ») abritait un port florissant avant que les Port excédés par les trafics, ne s'en emparent en 1468. Il faut attendre la fin du ) pour que la ville connaisse une nouvelle jeunesse sous l'impulsion du Mohammed ben Abdellah qui la nomme Dar-el-Beïda, « la maison blanche duit ensuite par Casa Blanca en espagnol. Dès lors, la ville ne cesse de croîto elle ne connaît son véritable essor qu'au milieu du XIX' s, sous l'impulsion di merce avec la France et l'Angleterre. En 1900, la petite Casa ne comul 20 000 habitants, et c'est sous les directives de Lyautey, nommé résident rl dans le cadre du protectorat exercé par laFrance sur le Maroc depuis 1912, ville enregistre un boum sans précédent. Missionné par la France, l'architecte Henri Prost dresse un plan d'urbanisme à donner à Dar-el-Beïda l'allure d'une ville moderne à l'image de l'Europe. Le bourg d'Anfa grossit de larges avenues sur lesquelles se greffent des bâtiments Ai I La cité tout entière devient un immense chantier. Les Français iront même jusqu'à réinventer une médina à leur image, aux rues larges et aux maisons prof (l'actuel quartier des Habous), avant que la fièvre de l'immobilier ne secoue veau la ville à la veille de la Seconde Guerre mondiale, mêlant l'architecture hil mauresque à un allié de choix : le béton. Aujourd'hui, Casa rêve encore de ses anciens murs, mais le quartier « que », autour du marché central, ne vit plus. L'animation glisse inexorabl vers le quartier Gauthier et leMaarif, là où les grandes enseignes drap pignons des immeubles, dans les quartiers chic où les Casablancais se ré tent un centre-ville.
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